QUIZ Décembre 2016

Quiz décembre 2016

Question :
Ces médecins se sont illustrés dans quelle ville des Hauts-de-Seine?


Indices en photos :

Réponse :

Deux psychiatres pour la même ville.
Le premier né à le 20 avril 1745 à Jonquières (Tarn) est arrivé à Paris en 1778.
Avant 1789 ? ou pendant la Terreur ? il exerce la médecine générale dans la ville à trouver. On lui attribue l'abolition de l'entrave des malades mentaux par des chaînes.
Le second est  né le 22 juin 1941 dans la Ville à trouver. On lui doit "Les jardiniers de la folie".


Philippe PINEL et Edouard ZARIFIAN   

à   Asnières-sur-Seine

Philippe Pinel : Il est rapporté qu'il a été premier médecin généraliste établi à Asnières...
Lors de son arrivée à Paris en 1778? lors de sa prise de distance avec le mouvement révolutionnaire et la Terreur en 1792/1793?

Le 25/08/1793 il est nommé par décret médecin des aliénés de Bicêtre et y observe avec attention les pratiques de Jean-Baptiste Pussin, qui développe le « traitement moral » des aliénés, prenant en compte la part encore intacte de leur raison. En 1795, Pinel est nommé médecin-chef de la Salpêtrière où il applique les mêmes réformes qu'à Bicêtre.
Édouard Zarifian : né le 22/06/1941 à Asnières, élève de Jean Delay et de Pierre Deniker, psychopharmacologue dans un premier temps, il en est devenu très critique à partir de 1988 se rangeant au modèle biopsychosocial.


Les indices en photos :

Asnières : Son nom proviendrait des nombreux haras d'ânes (asinaria, asneria en latin) présents sur son territoire, et ayant été employés à la construction de l'abbaye de Saint-Denis, voire des ânes utilisés pour transporter les sacs de farine, en provenance des moulins de Sannois et d'Argenteuil, à travers la plaine de Gennevilliers.
Le nom de la commune fut Anières puis Asnières-Saint-Marcel et Asnières avant de devenir Asnières-sur-Seine le 15 février 1968

Fernand Raynaud habite Gennevilliers (rue Jules-Larose) pendant plusieurs années. Certains de ses sketches porteront la trace des personnages qu'il croisait, tel que Le 22 à Asnières, qui se trouve de l'autre côté du boulevard Pierre-de-Coubertin et des avenues des Grésillons et Jean-Jaurès.
LUI - Bonjour Madame la téléphoniste... Oh !... Eh ! Madame la téléphoniste ! Dans le bureau de poste, c'est bien à vous qu'il faut s'adresser pour téléphoner ?
LA TÉLÉ. - Vous savez pas lire, c'est écrit dessus.
LUI - Madame la téléphoniste, je voudrais...
LA TÉLÉ. - Vous voyez pas que je suis en train de faire mes totaux.
LUI - Ben faites vos totaux... Vous me ferez signe lorsque je pourrai vous donner mon numéro.
LA TÉLÉ. - Oui. Je vous ferai signe... Qu'est-ce que vous voulez ?
LUI - Je voudrais le 22 à Asnières.
LA TÉLÉ. - Allô... c'est toi Georgette, passe-moi le 22 à Asnières.
LUI - Pensez-vous que c'sera long... Eh!... Oh!... Eh! Pensez-vous qu'ce soit...
LA TÉLÉ. - J'en sais rien, j'suis pas dans le téléphone.
Un Américain s'adresse à la téléphoniste:
Mademoiselle, je voudrais à San Francisco, le 6.307 X 7.
LA TÉLÉ. - Allô... Georgette passe-moi la cabine internationale... Allô... Je voudrais San Francisco, le 6.307 X 7.
Et cinq secondes plus tard.
LA TÉLÉ. - San Francisco, cabine 3.
LUI - Et mon Asnières...

Le cimetière des Chiens est considéré comme le premier cimetière pour animaux créé au monde. Fondée en 1899, la Société française anonyme du cimetière pour chiens et chats acquiert des terrains sur une île de la Seine, l'île des Ravageurs.
A côté de chats, veaux, vaches, cochons, chevaux, moutons, poules, singe, lion on y trouve : Clément , chien de Michel Houellebecq ; Rintintin, plusieurs chiens policiers dont « Léo » tué en service) ; Kroumir, le chat d'Henri Rochefort ; les animaux de compagnie de Camille Saint-Saëns, d'Alexandre Dumas, de Courteline et de Sacha Guitry